J’ai de nouveau participé cette année au bouchon Tourves et on peut dire qu’il a été fidèle à sa réputation : bien, bien, bien bouché. J’ai mis 3 heures pour faire l’aller-retour, soit 5 km.
Une certitude mon Estafette ne chauffe pas !
Le point noir cette année c’était l’indiscipline des spectateurs et aussi des participants. Pour assurer l’accueil des participants, les organisateurs avaient prévu 2 files de voitures avec un stand de chaque côté pour les inscriptions, plus des personnes chargées de diriger les voitures vers l’une ou l’autre des files. Evidemment il était demandé au conducteur de rester au volant. Une bonne organisation, mais c’est sans compter avec les arrivants qui posent leur voiture et disparaissent !
Le bouchon avait commencé avant même son lancement officiel.
Nicole a cédé volontiers son siège et pour cette édition ma passagère était Noelia une charmante journaliste de Var Azur TV qui a fait le défilé dans l’Estafette tout en filmant et en posant des questions pour son reportage.
Toutes les décennies de voitures des années 40 à 70 ont été représentées ainsi que toutes sortes de véhicules (2 roues, autos, camions …).
Le public était nombreux, 3000 spectateurs parait-il, et ils ont participé à leur façon à l’organisation du bouchon. Devant un tel engouement et tout ces sourires sur les visages, c’est plus facile d’être patient.
Après cette dure épreuve, le réconfort : un sympathique apéritif avec des participants venus de Haute-Savoie. Il n’est pas impossible qu’ils prennent quelques congés, l’année prochaine dans le Var, autour du jeudi de l’Ascension …
Au retour petite surprise, l’Estafette qui avait bien fonctionné pendant la manifestation se met à « ratatouiller » sur le retour, jusqu’à tomber en panne un peu après la Roquebrussanne. Après quelques recherches et de nombreux jurons le verdict tombe, c’est le condensateur ouf ! ce n’est pas grave. Après réparation, retour à la maison pour un repos bien mérité.
Philippe